Études sociales 20: Autodétermination et nationalisme

Texte très intéressant en provenance d'Europe qui présente l'expérience québécoise dans le domaine de l'autodétermination comme un exemple de ce qui est possible en matière d'autodétermination dans d'autres parties du monde.

Dans les années 1960, le Front de libération du Québec lutte pour que le Québec devienne une nation indépendante du Canada. Ils ont d'abord recours à l'utilisation de bombes et à des vols, mais une escalade de la violence conduira à la crise d'octobre 1970.

Le nationalisme canadien-français concerne une grande variété de manifestations de la volonté collective d'une importante partie de la population francophone du Canada de vivre en tant que communauté culturelle distincte. Ses innombrables ramifications ont été non seulement culturelles mais aussi politiques, économiques et sociales. Consultez cet article pour en savoir plus.

Cet article décrit l'histoire du Parti québécois, un parti politique séparatiste actif au Québec.

Un article qui traite des relations franco-anglaises au Canada de 1830 jusqu'au référendum de 1995 et ses conséquences.

Cet article décrit la longue histoire du mouvement séparatiste au Canada.

Cet article de Radio-Canada publié en 2020 revient sur le référendum québécois de 1980 et sur les profondes divisions qu'il a révélées dans la société québécoise. Des liens vers plusieurs vidéos de politiciens s'exprimant à l'époque sont inclus.

Qu’est-ce que la souveraineté et l’ingérence? Pour t’aider à comprendre ces deux concepts, Catherine compare la souveraineté d’un État au fait d'être propriétaire d’une maison.

En 1963, des militants néonationalistes québécois fondent le Front de libération du Québec, mieux connu sous l’acronyme FLQ. Ce groupe indépendantiste et révolutionnaire est formé de plusieurs petites cellules autonomes qui regroupent quelques personnes. Les membres du FLQ n’hésitent pas à avoir recours au terrorisme pour arriver à leurs fins, comme en témoignent les multiples attentats à la bombe et les vols à main armée qu’ils commettent.

Cet article explore les débuts des politiques d'assimilation des Canadiens français.

Durant la Révolution tranquille, l’effervescence culturelle au Québec est visible à travers la chanson d’expression française, le théâtre et les évènements culturels comme l'Expo 67. C'est aussi une période où la société québécoise et le gouvernement chercheront à protéger la langue française.

Avec la Révolution tranquille des années 1960, le néonationalisme devient prépondérant. Dorénavant, les francophones du Québec ne se désignent plus comme « Canadiens-français », mais comme « Québécois », un terme qui englobe toute personne habitant le Québec.

Les élèves apprendront les raisons pour lesquelles la Russie a envahi l'Ukraine. Petit indice : il y a une longue histoire entre ces deux pays.

Article approfondi publié par Radio-Canada en 2023 qui examine la nature complexe des efforts visant à faire progresser l'autodétermination autochtone au Canada.

Cet article explore les raisons pour lesquelles les politiciens québécois craignent que l'autodétermination autochtone ne crée des problèmes pour le statut spécial du Québec au sein du Canada.

Un article d'encyclopédie qui explore l'histoire de la Loi sur les Indiens au Canada.

Quelle est la situation des peuples autochtones pendant la première moitié du 20e siècle? Toutes les explications sont dans cette vidéo!

Cet article examine les intentions déclarées du gouvernement canadien dans le Livre blanc, les intentions réelles du gouvernement et la réaction des peuples autochtones du Canada.

Une discussion sur le Livre blanc de 1969 avec Médérik Sioui, historien spécialiste des Premières Nations.

Les Métis de la Terre de Rupert sont la seule population métisse de ce qui est devenu le Canada à avoir développé une pensée nationaliste. L'identité de leur groupe s'est cristallisée dans la Colonie de la Rivière-Rouge à la fin des années 1790. L'un des principes fondamentaux de la pensée nationaliste des premiers Métis était l'idée qu'ils constituaient une « nouvelle nation » issue des Premières Nations et des Euro-Canadiens/Européens, mais ayant des aspects distinctifs.

À partir de 1882, le gouvernement fédéral canadien fait arpenter une partie des terres des Métis dans les Territoires du Nord-Ouest sans prendre en considération la population locale. Celle-ci réclame qu’on leur donne des titres de propriété officiels pour les terres qu’elles occupent. Comme le gouvernement fédéral se montre très peu réceptif à leurs demandes, les Métis décident d’inviter Louis Riel à les aider à défendre leur cause.

Au cours du 19ᵉ siècle, les Métis francophones ont développé une identité nationale et une culture qui leur sont propres. Ils vivent alors de la chasse et du commerce, et beaucoup se convertissent au catholicisme. Ils ont d'ailleurs leur propre langue, le michif.

Cet article traite du wampum à deux rangs comme symbole des traités entre le gouvernement du Canada et les peuples autochtones.

Le gouvernement reconnait que l’autonomie gouvernementale des Autochtones et les lois autochtones sont essentielles pour l’avenir du Canada et que les perspectives et les droits autochtones doivent être intégrés dans tous les aspects de cette relation. Il s'engage à poursuivre le processus de décolonisation et d’achèvement de cet héritage, là où il demeure dans nos lois et politiques.

L'ancien député péquiste Alexis Wawanoloath raconte qu'il y a deux ans, à l'occasion d'une conférence sur la souveraineté au cours de laquelle il a parlé de souveraineté des nations autochtones, on lui a dit que de parler de souveraineté autochtone, c'était « être un instrument du fédéralisme ». Cela l'a plongé dans une grande perplexité : « Est-ce que le projet national québécois est un autre projet national blanc? Est-ce qu'on a notre place? ».

Le Livre blanc de 1969 (officiellement connu sous le nom « La politique indienne du gouvernement du Canada, 1969 ») est un document politique du gouvernement du Canada qui a tenté d’abolir les documents légaux antérieurs portant sur les peuples autochtones au Canada, y compris la Loi sur les Indiens et les traités autochtones. Il tentait d’assimiler tous les peuples « indiens » dans la société canadienne.