Journée nationale de la vérité et de la réconciliation (Journée du chandail orange) (30 sept.)

Cette section de l'atlas se concentre sur les pensionnats et couvre certains des éléments les plus dévastateurs des politiques agressives d'assimilation du Canada. Dans ces pensionnats, les enfants inuits, métis et des Premières Nations ont été arrachés de force à leur famille et contraints d'adopter des identités et des pratiques qui n'étaient pas les leurs.

Afin de redresser l'héritage des pensionnats et de faire avancer le processus de réconciliation canadienne, la Commission de vérité et de réconciliation a lancé plusieurs appels à l'action, détaillés dans ce document.

Article pour les enfants plus âgés qui résume l'histoire de la Journée du chandail orange.

La Journée du chandail orange a été lancée en 2013 pour attirer l’attention sur la réalité des pensionnats autochtones, qui ont existé pendant 165 ans (de 1831 à 1996). La Journée du chandail orange vise à sensibiliser la population et à reconnaitre les préjudices passés.

Depuis 2013, le 30 septembre est connu sous le nom de « Journée du chandail orange ». Stéphane nous explique pourquoi.

Spirit Bear a réécrit les 94 appels à l'action de la CVR de manière à ce qu'ils soient plus faciles à comprendre pour les enfants.

Vous trouverez ici le texte et la vidéo des excuses présentées le 11 juin 2008 par le premier ministre Stephen Harper à la Chambre des communes pour l'existence des pensionnats.

Cette chronologie des pensionnats au Canada commence en janvier 1831 et présente de nombreux évènements importants jusqu'à la Commission de vérité et de réconciliation et les excuses du gouvernement fédéral. Recherchez les liens intégrés pour obtenir des informations supplémentaires.

Spirit Bear est parti pour une autre aventure! Suivez-le alors qu'il découvre les savoirs traditionnels et que son oncle Huckleberry et son ami Lak'insxw lui enseignent l'histoire des pensionnats avant qu'il ne se rende en territoire algonquin, où des enfants lui parlent du Rêve de Shannen.